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Objectif

L’objectif de ce travail est de préciser les modalités d’imagerie les plus utilisées pouvant contribuer, en parallèle avec la clinique, au diagnostic ainsi que de connaitre les principaux signes radiologiques à rechercher et qui orientent vers le diagnostic d’une capsulite rétractile.

Résultats

Le diagnostic de la capsulite rétractile est avant tout clinique.

Néanmoins, l’imagerie garde un intérêt majeur en cas de doute diagnostic, d’intrications lésionnelles (pathologie de la coiffe des rotateurs), de résistance au traitement médical ou lorsqu’un traitement chirurgical est envisagé.

Conclusion

La capsulite rétractile idiopathique est une maladie autonome de l’épaule. Elle est d’évolution lente qui se fait en trois phases : initiale douloureuse, intermédiaire enraidissante et une phase de régression.

La radiographie de l’épaule est certes le plus souvent normale, mais permet d’orienter vers certains diagnostics différentiels ou encore de mettre en évidence un aspect pommelé de la tête humérale évocateur du diagnostic.

L’échographie peut objectiver en matière de capsulite rétractile un épaississement du ligament coraco-huméral et de l’intervalle avec hyperhémie au doppler couleur à ce niveau.

L’arthrographie ou l’arthroscanner permettent de mettre en évidence une réduction du volume articulaire et un défaut d’opacification des récessus articulaires. Ils ont également un intérêt thérapeutique.

L’IRM demeure l’examen le plus performant et peut être réalisé sans ou avec injection.

Elle permet d’étudier la région de l’intervalle des rotateurs et celle du récessus axillaire à la recherche de modifications à ce niveau.

Ce travail sera illustré et décrit par des images issues de la littérature et du service de radiologie de l'hôpital 20 août du CHU Ibn Rochd de Casablanca.

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