Objectif
- Rappeler les différentes étiologies des atteintes de la substance blanche (SB).
- Conduire un diagnostic différentiel entre les atteintes de la SB.
Résultats
Les hypersignaux de la substance blanche sont peu spécifiques:
• Images clés ?
• Atteintes caractéristiques ?
• Signes associés ?
- L’IRM constitue l’examen fondamental, à la fois pour le diagnostic et le suivi.
- La sclérose en plaque (SEP) est une pathologie fréquente.
- Tous les hypersignaux de la substance blanche ne sont pas inflammatoires.
- Tous les hypersignaux de la substance blanche d’allure inflammatoire ne sont pas des SEP.
Conclusion
- Les anomalies de la substance blanche peuvent être physiologiques oupathologiques.
- Elles sont de découverte fréquente en pratique courante.
• On distingue deux grandes catégories :
- • Affections démyélinisantes : destruction de la myéline avec destructionaxonale.
- - Primitives : inflammatoires.
- - Secondaires : vasculaires, infectieuses, métaboliques, toxiques …
- • Affections dysmyélinisantes ou leucodystrophies : formation défectueusede la myéline.
• L’IRM constitue la pierre angulaire dans l’exploration des anomalies de lasubstance blanche, objectivant des hypersignaux T2 et FLAIR.
• Les critères morphologiques, topographiques et fonctionnels permettent uneorientation diagnostique.