Poster abstract

Objectif

  • - Connaitre les éléments radiologiques, cliniques et paracliniques permettant l’orientation diagnostique devant une anomalie de signal intra-médullaire.
  • - Préciser les étiologies des myélopathies non compressives et leurs caractéristiques radiologiques en IRM.
  • - Etablir un arbre décisionnel à suivre devant une anomalie de signal intra-médullaire

Résultats

  • - L’orientation diagnostique devant une anomalie de signal intra-médullaire nécessite une connaissance précise des éléments cliniques, paracliniques et les caractéristiques d’imagerie de chaque étiologie.
  • - Devant une anomalie de signal intra-médullaire, il faut préciser son extension en hauteur (segment court ou long), sa topographie sur le plan transversal (partielle ou étendue), son rehaussement (médullaire, leptoméningé, radiculaire, vasculaire) et les anomalies associées (étage encéphalique+++).
  • - Les principales étiologies des myélopathies non compressives sont les lésions démyélinisantes (SEP, NMO, MOGAD), vasculaires (ischémie médullaire, FAV), tumorales (astrocytome, épendymome, hémangioblastome, métastases…), inflammatoires (vascularite, sarcoïdose), infectieuses et métaboliques.   

Conclusion

Les anomalies de signal intra-médullaire sont souvent retrouvées dans la pathologie de la moelle épinière, mais restent non spécifiques. L’IRM joue un rôle précieux dans l’orientation diagnostique en fonction des éléments anamnestiques, cliniques, paracliniques et les principales caractéristiques d’imagerie. Le but de ce travail est de présenter un algorithme décisionnel à suivre devant une anomalie de signal intra-médullaire, en tenant compte des éléments sus-décrits, à travers des cas colligés au sein du service de neuroradiologie. 

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